Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
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Européennes : M. Dupont-Aignan (DLR) veut débattre avec Rachida Dati

07/05/2009 17:03

Européennes : M. Dupont-Aignan (DLR) veut débattre avec Rachida Dati


07/05/2009 10h45 GMT - PARTIS-DLR-UE-ÉLECTIONS - Nouvelles de France - AFP

PARIS, 7 mai 2009 (AFP) - Le député Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout La République (DLR) et numéro trois de la liste DLR en Ile-de-France pour les élections européennes, a accusé jeudi l’UMP et le PS d’organiser "un grand silence" sur le scrutin du 7 juin, proposant de débattre avec Rachida Dati.
"J’accuse le Parti socialiste et l’UMP d’avoir, de manière préméditée, organisé un grand silence sur l’élection européenne", a déclaré M. Dupont-Aignan en présentant à la presse les listes de son parti pour les sept euro-circonscriptions métropolitaines.
"Les deux grands partis ont été traumatisés par le référendum de 2005, et ne veulent en aucun cas débattre du fond des choses, parce qu’ils se sentent très mal à l’aise vis-à-vis de leur base électorale", a estimé le député de l’Essonne.
Il a demandé un débat avec la ministre de la justice Rachida Dati, numéro deux de la liste UMP en Ile-de-France, ou même "avec le cinquième de liste de l’UMP". "Je veux débattre", a insisté M. Dupont-Aignan, se félicitant d’un sondage CSA donnant 4% d’intentions de vote à la liste DLR en Ile-de-France.
"Il ne faudra pas se plaindre s’il y a 70% d’abstention en France et une crise politique majeure", a-t-il mis en garde, prédisant que si "la colère" ne s’exprime pas "dans les urnes, ça se fera dans la rue".
Il a décrit les listes DLR comme "exprimant le rassemblement des républicains des deux rives", avec d’ex-UMP, MPF ou MRC, car "le gaullisme, ça n’est pas un camp contre un autre".
Parmi les personnes issues de la société civile, figure un ancien joueur international de football, François Bracci, numéro 10 dans le Sud-Est.
DLR qui a lancé le 24 mars sa campagne avec neuf caravanes sillonnant la France organisera le 4 juin une réunion publique à la Mutualité à Paris.





« Le petit livre mauve… » paraît mercredi prochain, 13 mai

07/05/2009 11:27

« Le petit livre mauve… » paraît mercredi prochain, 13 mai


A comme Avenir, B comme Plan B, C comme Concurrence, M comme Malbouffe, ou encore O comme Otan…, le Petit Livre mauve de Nicolas Dupont-Aignan sera présenté à la presse le 13 mai prochain. Cet abécédaire « de l’Europe qui marche sur la tête et qu’il faut remettre sur ses deux jambes » met en évidence avec humour et lucidité les errements d’une Union européenne au fonctionnement parfois ubuesque, mais surtout nuisible aux intérêts de la France. Le livre énonce aussi les solutions de bon sens qu’il faudrait mettre en œuvre pour que l’Europe soit enfin utile. A ce titre, il présente un projet de traité alternatif. A noter que l’ouvrage de 150 pages, est publié par le premier éditeur équitable, par ailleurs spécialisé dans la distribution par Internet. Il sera en vente au centre national dès le 11 mai au prix de 2 euros (plus frais de port). Dans la dernière ligne droite des élections européennes, où certains ont manifestement intérêt à tout faire pour étouffer et détourner le débat, n’hésitez pas à l’acheter et à l’offrir à vos amis. Il sera également disponible en ligne.

 






Présentation à la presse des listes de Debout La République

07/05/2009 11:16

Présentation à la presse des listes de Debout La République


Nicolas Dupont-Aignan, député de l’Essonne, président de Debout la République, tiendra jeudi 7 mai à 10 h 30 au restaurant "Chez Françoise" (Esplanade des Invalides) un point presse au cours duquel :
1) Il annoncera la composition des listes gaullistes Debout la République pour les circonscriptions Sud-Est, Sud-Ouest, Massif central - Centre, Est, Ouest et Nord-Ouest.
2) Il dévoilera la composition de la liste Ile-de-France, en présence de Jean-Pierre Enjalbert, maire de Saint-Prix dans le Val d’Oise (tête de liste) et de l’ensemble des colistiers.
 
3) A 30 jours exactement du scrutin du 7 juin, il fera le point sur la campagne en cours et annoncera les temps forts des prochaines semaines.





Un Appel pour le salaire maximum

06/05/2009 18:47

Un Appel pour le salaire maximum


Marianne soutient un appel pour un salaire maximum lancé par une vingtaine d'économistes et soutenu par plusieurs hommes et femmes politiques. A signer, faire signer et débattre

Le Comité des Sages sur les abus des rémunérations des grands patrons, mandaté par le MEDEF et l'AFEP, va commencer à travailler. On se souvient que ledit Comité avait été créé après la grosse colère de Nicolas Sarkozy contre la rémunération des dirigeants de la Société Générale.
Mais comme beaucoup de coups de gueules présidentiels, on sait déjà que celui-ci ne sera guère suivi d'effets. D'abord parce que le Comité a limité son champ d'intervention aux entreprises qui recourent « massivement » au chômage partiel ou à des plans sociaux « d'ampleur ». Ensuite parce que le sage désigné pour présider le Comité, Claude Bébéar dispose de plusieurs jetons de présence dans des grands groupes (Axa, mais aussi Schneider, Vivendi et BNP-Paribas). Même s'il est l'auteur inspiré du livre « Ils vont tuer le capitalisme  », co-écrit avec Philippe Manière, le quotidien fort peu gauchiste Les Echos se demande s'il est le mieux placé pour aider les grands patrons à prendre conscience de ce que peuvent avoir de choquant leurs pratiques dans ce domaine.

Il faut donc nous occuper nous-même de lancer le débat public. C'est l'objet de cette appel, que nous appelons à signer et faire signer. La limitation de la rémunération des dirigeants ne résoudra pas à elle seule la crise. Mais sa valeur symbolique est forte. Et il n'y a aucune raison pour les sacrifices et les efforts ne soient concentrés que sur les salariés sous prétexte qu'ils sont les plus nombreux. Ce n'est pas une question de morale mais de société : le système hyper-inégalitaire que nous connaissons vient d'exploser, il nous faut inventer autre chose.

Pour un salaire maximum
Avec la crise économique a surgi le débat sur le salaire maximum qui aurait été jugé totalement ringard voici encore quelques mois.
Pourtant, cette proposition est de bon sens. Elle est même un symbole indispensable si les dirigeants veulent montrer qu’ils ont compris quelque chose au marasme actuel et qu’ils ne souhaitent pas que tout revienne « comme avant ».
Le salaire maximum, ou mieux, la rémunération maximale, intégrant bonus et primes, est presque une nécessité : le salarié le mieux payé d’une entreprise vit dans la même société que celui qui est le plus mal payé. Si le premier gagne, comme c’est le cas aujourd’hui, 300 ou 400 fois, voire 5 ou 600 fois plus que le second, il n’a aucune chance de comprendre son univers et donc de prendre des décisions raisonnables qui le concernent. Conscient du problème, l’écrivain George Orwell avait proposé que le salaire du chef d’entreprise ne puisse jamais être plus de dix fois celui de l’ouvrier le plus mal payé.
Pour Henry Ford, qui avait deviné qu'il vaudrait mieux fabriquer des 2 CV que des Jaguar, la bonne proportion était 40 fois.
Dans la France de 2009, cela représente environ 500 000 euros de rémunération annuelle, ce qui est déjà une somme motivante. Le plafond pourrait être instauré par la loi ou par une mesure fiscale comme aux Etats-Unis, taxant  à 80 ou 90% les revenus au-delà d’un certain niveau. Bref, la méthode se discute, mais le principe doit s’imposer au législateur le plus vite possible.

Premiers signataires : Samir Amin (économiste), Philippe Cohen (journaliste), Eric Conan (journaliste), Laurent Cordonnier (économiste), Liêm Hoang-Ngoc (économiste), Frédéric Lordon (économiste), Bernard Maris (économiste), Hervé Nathan (journaliste), Dominique Pilhon (économiste), Christophe Ramaux (économiste), Gilles Raveaud (économiste), Bertrand Rothé (économiste), Maurice Szafran (journaliste), Jacques Sapir (économiste), Henri Sterdyniak (économiste), Bruno Tinel (économiste), Michel Le Net
(président d'honneur du Cercle d'Ethique des Affaires), Guillaume Duval (journaliste).

Soutenus par : Jean-Pierre Chevènement,  Nicolas Dupont-Aignan, Jean Glavany, Jean-François Kahn, Marie-Noëlle Lienemann, Jean-Luc Mélenchon, Alain Liepietz.

Signez et faites signer l'appel pour un salaire maximum

http://www.marianne2.fr/Un-Appel-pour-le-salaire-maximum_a179349.html






Deux ans de présidence Sarkozy : un bilan fatalement sans appel

06/05/2009 18:28

Deux ans de présidence Sarkozy : un bilan fatalement sans appel


Le Président de la République a affirmé hier à Nîmes que le temps des bilans n’était pas venu. On le comprend tant un examen impartial et lucide des deux premières années du quinquennat pourrait être accablant.
Il préfère, il en a livré une nouvelle illustration hier soir, cette fuite en avant dans des discours schizophrènes qui lui permettent, pour combien de temps encore, avec l’aide de quelques groupes de médias bien complaisants, de saturer l’espace public, donnant le tournis aux Français et gardant toujours deux longueurs d’avance sur ses opposants, qui ne disposent pas du même temps de parole pour exprimer leurs critiques et faire valoir leurs propositions.
En vérité, ces deux premières années auront été très paradoxales.
La rupture promise n’a pas eu lieu là où elle était tant attendue. Elle a, en revanche, été mise en œuvre dans des domaines et dans un sens où elle n’avait pas été annoncée. Les discours d’Henri Guaino, si utiles pendant la campagne présidentielle pour « plumer la volaille » électorale, ont été bien évidemment, comme j’en avais publiquement exprimé la crainte, systématiquement trahis par les actes.
Quoi d’étonnant d’ailleurs, quand on connaît la personnalité et le terreau idéologique du Président : atlantisme, communautariste, ultralibéralisme, amour de l’argent et de ceux qui en ont, mépris pour le modèle social et républicain français. Chassez le naturel, il revient aussitôt au galop !
Oubliée donc la rupture avec la pensée unique si habilement mise en scène pendant la campagne.
- L’éloge à « l’école du mérite et de l’effort » a abouti dans les faits à la réduction sans précédent de 7% des heures de cours en primaire et à la réduction des exigences de culture générale dans les concours de la Fonction Publique, qui sont eux-mêmes dévalorisés, remis en cause dans leur principe par une discrimination positive sans le nom.
- L’ode au travail, aux petites entreprises et à la baisse des charges pour dynamiser l’emploi, se traduit par la création de 10 taxes ou impôts nouveaux et par une politique économique à la fois dictée par quelques copains du CAC 40 et par l’éternel malthusianisme de l’Europe bruxelloise. - L’hymne à Jaurès et à la justice sociale se trouve renié par un bouclier fiscal ahurissant en période de crise, qui exempte les ménages très aisés du paiement du RSA, laissé aux classes moyennes (les moins pauvres paient pour les plus pauvres, drôle de justice sociale !) - La volonté de rééquilibrage des institutions en faveur du Parlement est un trompe-l’œil car le Président pilote en direct l’UMP qui détient, à l’Assemblée Nationale, la majorité des sièges.
- Le culte de l’identité nationale conduit, comprenne qui pourra, à la relance de l’immigration de travail, aux statistiques ethniques et aux communautarismes religieux.
 - Enfin, dans le domaine européen qui avait, là aussi, donné lieu pendant la campagne à de beaux discours sur la faillite de la Commission de Bruxelles et la nécessaire lutte contre les délocalisations, aboutit à un grand écart permanent et à une incohérence flagrante.
 - Le fameux « traité simplifié » censé réconcilier le Oui et le Non de 2005 est devenu la copie conforme de la Constitution européenne. Ainsi le traité de Lisbonne supprime le droit de veto de la France sur les négociations commerciales à l’OMC mais, avec le culot qui le caractérise, le Président promet aux agriculteurs français qu’il mettra le droit de veto sur tout accord commercial dangereux pour eux !?
 - Sur la Turquie, l’incohérence est tout aussi béante. D’un côté, le Président s’y déclare opposé, de l’autre, il a laissé ouvrir à Bruxelles, avec l’accord de la France, 8 chapitres de négociations et a fait supprimer le référendum obligatoire qui avait été constitutionnalisé par Jacques Chirac pour éviter un mariage forcé.
- En revanche, des ruptures qui n’avaient pas été annoncées ont été mise en œuvre. Ainsi, le retour dans l’OTAN, signe la fin de 50 ans de consensus politique français, abîme l’image de notre pays dans le monde. De même, l’envoi de troupes en Afghanistan est contraire aux engagements pris pendant la campagne électorale.
Bilan très sévère diront certains. Oui, car plus que tout Nicolas Sarkozy, par son attitude permanente politicienne et partisane, décrédibilise profondément la fonction présidentielle qui avait été justement inventée par le Général de Gaulle pour servir de clé de voûte à notre pays tiraillé par des divisions permanentes et menacé par le déclin.
Les Français, bien évidemment, pourront parfois éprouver une certaine admiration pour l’animal politique, sa capacité de rebond, son intelligence tactique, son talent d’avocat, mais ce qui manque le plus au terme de ses deux ans de présidence, ce sont des résultats véritablement tangibles et positifs, c’est un sens donné à l’action, une cohérence dans le projet, un respect du peuple, une compréhension de ce qu’est la France et de ce qu’attendent nos compatriotes.
Mais je crois sincèrement que les Français, dans leur ensemble, ont compris tout cela. La question n’est donc plus de savoir si Nicolas Sarkozy est un bon ou un mauvais Président, mais de proposer au plus vite une alternative crédible. Non pas une alternative en terme seulement de personnalité, mais de projet politique qui aille enfin à la cause des problèmes profonds du pays.
Car, n’en doutons pas, après les échecs de François Mitterrand, de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy, la question centrale est de savoir comment, dans une mondialisation sauvage, nous pouvons préserver et faire s’épanouir un modèle français détricoté et attaqué de toutes parts.
C’est là bien sûr qu’intervient la question européenne qui est, chacun le sait, centrale. Je vous renvoie, pour ne pas allonger démesurément ce billet au format déjà inhabituel, à mon discours de clôture du Congrès fondateur de Debout la République du 23 novembre dernier où je tentais de tracer quelques pistes pour l’avenir.
En attendant, mobilisons-nous pour les élections européennes !
NDA


Commentaire de manéthon (06/05/2009 18:31) :

Crise mondiale : pour la première fois depuis 1945, le chômage va atteindre des sommets en Europe.Selon un rapport de la Commission européenne, l'économie de la zone euro va se contracter de 4% cette année, ce qui entraînera un taux de chômage record de 11,5% en 2010, du jamais vu depuis l'après-guerre.C'est encore un dégât co-latéral de la mondialisation et du modéle économique que Bruxelles entend supporter !





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